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Le PSG sans forcer, mais qualifié : mission accomplie à Seattle

Sans forcer et sans briller, le PSG a rempli sa mission à Seattle : une victoire tranquille qui ouvre les portes des huitièmes de finale.

Pas de panique, pas de fureur. À Seattle, le PSG a rempli sa mission, calmement, presque distraitement. Un 2-0 propre et sans bavure contre les Sounders pour valider son billet en huitièmes. Sans génie, mais avec maîtrise. Et sans avoir à puiser dans ses réserves.

Vitinha déverrouille la partie pour le PSG

Longtemps, pourtant, le match a ronronné. Paris dominait, sans mordre. Il a fallu un contre favorable et un peu de réussite pour débloquer la situation. À la 35e minute, Vitinha déclenche une frappe lointaine, non cadrée. Mais Kvaratskhelia traîne dans la surface et dévie le ballon juste ce qu’il faut pour tromper le gardien. Pas du grand art, mais l’essentiel est fait. Le PSG respire, Seattle accuse le coup.

Face à une équipe américaine courageuse, mais limitée techniquement, les Parisiens déroulent sans briller. Mayulu, titularisé à la place de Gonzalo Ramos, n’apporte pas la révolte. Dembélé et Barcola débutent sur le banc. Luis Enrique fait tourner, ménage ses troupes. La suite est maîtrisée.

Pas de show, mais du sérieux : Paris passe le cut à Seattle

Pas de show, mais du sérieux : Paris passe le cut à Seattle

Hakimi scelle le sort du match

Le coaching paie vite. À peine entré en jeu à la 64e, Barcola dépose un centre parfait au second poteau. Hakimi, oublié, contrôle et fusille. 67e minute, 2-0. Rideau.

Le PSG aurait pu alourdir la note. Désiré Doué par deux fois (30e et 57e) a manqué le coche, tout comme Warren Zaire-Emery (87e). Mais l’écart aurait été sévère. Seattle a tenté, a couru, mais a buté sur plus fort. Paris, sans briller, a assuré.

Une qualif sans étincelles, mais un message

A la faveur du revers essuyé par le Botafogo contre l’Atlético Madrid (0-1), Paris s’offre même le luxe de terminer premier du groupe. Et c’était l’objectif. Reste à savoir ce que l’avenir lui réserve. Un duel contre l’Inter Miami de Messi ? Tout dépend du résultat face à Palmeiras. Mais l’idée fait saliver. Paris avance sans panache, mais avance. Et dans cette Coupe du monde des clubs, c’est parfois tout ce qui compte.


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