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En difficulté au PSG, Kolo Muani clame son mal-être

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L’international français, Randal Kolo Muani, affirme ne pas être aussi heureux au PSG qu’il ne l’était en Allemagne.

Recruté pour un montant colossal de 90M€, Randal Kolo Muani peine pour l’instant à justifier sa valeur marchande avec le PSG. Depuis son arrivée dans la capitale française, il n’a marqué que 8 buts. En outre, son rendement dans le jeu a été assez décevant. C’est ce qui a notamment poussé Luis Enrique à le reléguer sur le banc et ne faire appel à lui qu’à de très rares occasions.

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Face à cette situation, l’ancien nantais a choisi de prendre la parole dans les médias. Il s’est exprimé dans une interview à Onze Mondial. Une interview durant laquelle il a étalé tout ce qu’il avait sur le cœur.

« En Allemagne, j’étais en confiance, c’est pour ça que j’étais épanoui sur le terrain, a-t-il indiqué pour commencer. Il faut juste que je sois heureux et en confiance. Et tout va rouler comme sur des roulettes. Aujourd’hui, je suis heureux. Mais je ne suis pas heureux comme en Allemagne. Au début, les critiques m’ont affecté. Je suis un humain, je ne suis pas un mur, ni un robot, j’ai des sentiments. Mais je ne suis pas triste. Je suis content d’être un joueur du PSG. Mais je pourrais être mieux. »

Kolo Muani « affecté » par les critiques

Kolo Muani a été beaucoup montré du doigt pour ses prestations décevantes. Tout en avouant que les critiques font avancer, il a admis qu’il était plutôt affecté par ses piques extérieures. « Je vois les critiques depuis mon arrivée au PSG. Et les critiques font évoluer, c’est bon à entendre. C’est comme les conseils. Il faut prendre en compte les critiques et s’améliorer pour que ces mêmes critiques disparaissent. C’est logique. Après, franchement, je ne m’attendais pas à ça, je ne m’attendais pas à un tel impact en arrivant à Paris. (…)Quand je sors de mon match, je reste avec mes proches et ma famille. J’essaye de ne pas utiliser mon téléphone, j’essaye de me couper du monde. J’ai vu passer plein de choses, au début, ça m’affectait. »

Pour finir, le vice-champion du monde a reconnu qu’il était clairement en manque de confiance actuellement : « Si j’étais journaliste, quelle question je poserais à Randal Kolo Muani ? (Il réfléchit longuement). Je lui dirais :  »Monsieur Kolo Muani, avez-vous conscience de ne pas être à la hauteur des attentes ? ». Je lui aurais lancé une pique comme ça. J’aurais fait en sorte de le regarder droit dans les yeux pour voir comment ma question lui fait mal. Je lui répondrais :  »Je mets tout en oeuvre pour redresser la barre ». J’ai besoin de confiance. Si un attaquant manque de confiance, il est forcément en difficulté. »

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