Zinédine Zidane sort du silence sur son
avenir… et ne laisse plus planer aucun doute quant à ses ambitions
pour l’équipe de France.
Depuis des mois,
son nom revenait avec insistance dès que l’on évoquait la
succession de Didier Deschamps à la tête de l’équipe de France.
Pourtant, Zinédine Zidane, fidèle à sa discrétion, n’avait jamais
officiellement pris position. À un an du Mondial 2026, et alors que
Deschamps a confirmé son départ à l’issue de ce tournoi, l’icône du
football français a enfin parlé.
Présent lors d’un événement
public à Paris, Zidane a livré des mots attendus, lourds de sens :
« Bien sûr que c’est une envie. J’ai mis ma carrière entre
parenthèses mais je me sens entièrement entraîneur. L’équipe de
France, j’y ai joué, je l’ai vécue, c’est une évidence ». Tout
en respectant le sélectionneur actuel, l’ancien coach du Real
Madrid n’a pas cherché à masquer son ambition. Il assume,
pleinement, son désir de s’asseoir un jour sur le banc des
Bleus.
Si jusqu’ici les noms de Thierry Henry ou Hervé Renard revenaient
régulièrement comme prétendants à la succession de Deschamps,
l’annonce de Zidane rebat les cartes. Par sa stature, son
expérience, son aura, il surclasse tous les autres candidats. Son
palmarès de coach, riche de trois Ligues des Champions, pèse bien
plus lourd que toute autre candidature.
Zidane se positionne
clairement pour les Bleus
Du côté de la FFF, la ligne
est claire : ne pas précipiter les choses. Philippe Diallo, le
président, veut éviter toute interférence avant la fin du mandat de
Deschamps. Mais dans les coulisses, tout semble déjà orienté.
Zidane, sans avoir besoin de le marteler, est plus que jamais
l’héritier désigné d’un trône qu’il connaît mieux que personne.
L’idée de revoir Zizou guider
les Bleus à l’Euro 2028 ou au Mondial 2030 séduit déjà. Elle
réveille l’imaginaire collectif, celui d’un enfant de la nation
devenu mythe vivant. Le rendez-vous est fixé. Ce n’est plus qu’une
question de temps.
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