Légende du football, Yaya Touré livre un
aveu déchirant. Son plus grand regret n’est pas celui qu’on croit…
Et il va vous surprendre.
Il y a des confidences
qui marquent, surtout lorsqu’elles viennent d’une légende du
football moderne. Yaya Touré, ancien milieu emblématique de
Manchester City, a surpris son monde en avouant publiquement son
plus grand regret en carrière. Pourtant, le natif de Bouaké a tout
gagné ou presque sous le maillot skyblue, en empilant titres et
performances mémorables en Premier League. Mais derrière ce
parcours de rêve, se cache un profond sentiment d’inachevé.
Un rêve brisé chez les
Gunners
À l’occasion d’un passage dans le podcast Obi One, l’Ivoirien a révélé qu’il avait
toujours nourri un rêve secret : porter un jour le maillot
d’Arsenal. Un rêve qui aurait pu devenir réalité très tôt, lors
d’un essai prometteur chez les Gunners. Partageant alors le
vestiaire avec son idole Patrick Vieira, Touré avait été séduit par
l’ambiance du club et l’atmosphère unique de Highbury.
« Quand j’ai visité le stade, je me suis dit : un jour, je
dois jouer ici », a-t-il confié avec émotion.
Mais le destin en a
décidé autrement. À l’époque, l’absence de passeport européen et le
manque de sélections en équipe nationale lui ont barré la route
vers Londres. Un coup dur que l’ancien Citizens ne cache pas :
« Je n’avais pas 75% de matchs joués avec la Côte
d’Ivoire, je n’ai pas pu obtenir le permis de travail. J’étais
vraiment triste », a-t-il avoué. Ainsi, le rêve d’évoluer
sous les ordres d’Arsène Wenger s’est éteint avant même de
commencer.
Le poids d’un échec
administratif
S’il n’a jamais porté
les couleurs d’Arsenal, Yaya Touré a tout de même construit une
carrière d’exception, notamment à Manchester City où il a remporté
trois titres de champion d’Angleterre. Mais cette anecdote rappelle
à quel point certaines trajectoires, même couronnées de succès,
sont parfois jalonnées de rêves inassouvis.
Finalement, cette
confession nous montre que derrière chaque palmarès éclatant se
cache une part d’histoire secrète. Et dans celle de Yaya Touré,
Arsenal restera à jamais l’occasion manquée d’une carrière pourtant
magistrale.
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