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Un ex‑Merengue fustige
Antonio Rüdiger après la débâcle européenne : qui ose le
traiter « d’idiot » ?
Le vestiaire du Real
ne s’est pas encore remis du 5‑1 (sur deux matches) infligé par
Arsenal que les critiques fusent déjà sur la place publique.
Radios madrilènes, plateaux télé, réseaux sociaux : chacun cherche
un responsable. Et c’est une vieille connaissance de la Maison
Blanche qui a décoché la flèche la plus venimeuse, visant
directement le roc allemand Antonio Rüdiger.
Le mystérieux
franc‑tireur n’est autre que Rafael van der Vaart,
présenté pour l’occasion comme « l’icône » des
années 2000. Invité de Ziggo Sport, l’ancien milieu, passé brièvement mais
officiellement par le Bernabéu, a rappelé une vieille altercation
en Bundesliga avant de lâcher : « Oui, Rüdiger est un
peu idiot ». Le mot claque, assumé, et relance le débat
sur les limites de l’agressivité défensive.
En quart de finale
retour, Rüdiger a d’abord plaqué Jurriën Timber puis marché sur
Myles Lewis‑Skelly, incidents que Van der Vaart juge «
délibérés ». L’analyste rappelle aussi ses fameux duels
musclés contre Erling Haaland la saison dernière : quand le Real
gagnait, le style guerrier amusait ; en cas de défaite, il alimente
la polémique. « Tout est drôle quand tu gagnes, sinon ça passe
pour de la bêtise », soupire le Néerlandais.
Une vieille gloire madrilène
s’en prend à Rüdiger : mots crus, impact brut
Cette sortie s’ajoute
au récent missile de Predrag Mijatović contre
Carlo Ancelotti : en quelques jours, deux anciennes
gloires ont ouvert le feu sur le vestiaire et son coach. Déjà
fragilisé, l’Italien sait que la finale de Copa del Rey
du 26 avril conditionne son avenir. Dans cette atmosphère
électrique, chaque mot d’un ex‑Merengue résonne comme un
verdict.
Fort de deux Ligues
des champions en deux saisons, l’Allemand a peu de leçons de
palmarès à recevoir de Van der Vaart. Le défenseur, réputé
imperméable aux critiques, devra le prouver sur la pelouse : une
réponse propre, sans gestes superflus, serait le meilleur démenti.
D’ici là, les ironies d’anciens joueurs déçus ne feront que nourrir
le feuilleton d’un Real Madrid plus scruté que jamais.
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