SPORT

Un ancien dirigeant du Barça révèle le grand défaut de Luis Enrique

Il mène le PSG vers les sommets, mais un
proche de Luis Enrique dévoile ce qui pourrait bien être son plus
grand défaut, à trois jours d’une finale capitale.

Il a conquis le vestiaire du
PSG, galvanisé les supporters et convaincu les observateurs. Luis
Enrique, maître d’œuvre d’un collectif retrouvé, s’apprête
peut-être à entrer dans l’histoire du club parisien ce samedi à
Munich,
en finale de la Ligue des champions contre l’Inter.
Pourtant, à
l’approche de ce rendez-vous crucial, un ancien collaborateur du
coach espagnol a décidé de lever le voile sur ce qu’il considère
comme le principal défaut de celui qui incarne aujourd’hui le
renouveau parisien. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que
cette révélation pourrait en surprendre plus d’un…

C’est Robert Fernandez, ancien
directeur sportif du Barça, qui a mis des mots sur ce qu’il estime
être la faille de Luis Enrique dans une interview accordée au
journal Le Parisien.
« Son défaut ? C’est peut-être qu’il s’impose l’obligation
d’être toujours bon et performant »,
confie-t-il. Une exigence
extrême qui, selon lui, peut être difficile à suivre pour certains
joueurs : « Parfois, c’est impossible pour ses joueurs de répondre
à ce désir. » Un « défaut » qui semble pourtant porter ses fruits à
Paris tant son niveau d’exigence fait progresser l’ensemble du
groupe.

Luis Enrique, l’obsession de la performance

Luis
Enrique, l’obsession de la performance

Ce leadership exigeant n’est
pas nouveau. Fernandez le décrit comme un « vrai leader, en
lettres majuscules »,
déjà marqué par cette capacité à prendre
ses responsabilités dès ses années de joueur. Et à Paris, Enrique a
su appliquer avec brio cette rigueur : il a rapidement écarté
Neymar, Verratti ou encore Marco Asensio, des noms pourtant lourds,
au profit de profils plus alignés avec son idée du jeu et de
l’effort collectif.

PSG : l’exigence extrême de
Luis Enrique dévoilée

L’ancien sélectionneur de la
Roja s’est aussi distingué cette saison par sa capacité à protéger
ses hommes, même dans la tempête.
Quand les critiques pleuvaient sur Barcola,
il s’est empressé
de rappeler qu’il était « l’un des meilleurs dribbleurs
d’Europe ».
Une posture de patriarche, protecteur et direct,
qui renforce l’adhésion du vestiaire.

Et si ce « défaut » se
transforme samedi en qualité ultime, alors Luis Enrique pourrait
bien offrir au PSG ce que Tuchel, Emery ou Blanc n’ont jamais
réussi : une étoile européenne gravée à jamais dans l’histoire du
club.


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