Entre clauses spéciales et avantages
inhabituels, le contrat de Sergio Ramos avec Monterrey soulève des
questions.
Sergio Ramos a surpris tout le monde en choisissant de poursuivre
sa carrière au Mexique. Mais plus que son choix, ce sont les
conditions de son contrat avec Monterrey qui font parler. Loin d’un
simple transfert, l’ancien capitaine du Real Madrid a négocié des
privilèges qui interrogent sur la nature réelle de son engagement
avec le club mexicain.
Un salaire et des primes à la performance
Selon les révélations de la presse mexicaine, Ramos touchera
près de 4 millions d’euros par an, auxquels s’ajouteront des bonus
pour chaque match joué, chaque titularisation, chaque but inscrit
ou encore pour son rôle de capitaine. Même le Mondial des clubs lui
garantira des primes spéciales, ce qui montre l’importance que
Monterrey accorde à sa présence.
Une manne financière bien exploitée par Sergio Ramos
Sergio Ramos a également su négocier un pourcentage sur les
ventes de maillots à son nom, récupérant 2 % des bénéfices générés.
Plus étonnant encore, il conserve l’intégralité de ses droits à
l’image, lui laissant une liberté totale pour conclure des accords
commerciaux au Mexique sans l’intervention du club.
Au-delà des finances, Ramos bénéficie d’un traitement
particulier : logement pris en charge, mesures de sécurité
renforcées pour lui et sa famille, mais aussi un rôle prestigieux.
En effet, l’ancien international espagnol sera ambassadeur du club
lors de la Coupe du Monde 2026, qui se déroulera partiellement au
Mexique.
Une stratégie gagnant-gagnant ?
Avec cet accord inédit, Ramos s’assure une transition en douceur
tout en restant une figure majeure du football. Pour Monterrey,
attirer un tel nom est un coup marketing sans précédent. Mais
derrière ces arrangements avantageux, le défi sportif reste entier
: Ramos devra prouver que, malgré ses 38 ans, il reste une valeur
sûre sur le terrain.
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