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Mardi, le Real Madrid féminin recevait
Arsenal pour le match aller des quarts de finale de la Ligue des
champions féminine, s’imposant 2-0 grâce à des buts de Linda
Caicedo et d’Athenea del Castillo.
Cependant, le principal sujet de discussion après le match n’a
pas été le match en lui-même, mais plutôt les conditions de jeu au
stade Alfredo Di Stéfano.
La surface de jeu du stade Di Stefano était très difficile, ce
qui a donné lieu à de nombreux moments compliqués pour les deux
équipes. Cela a également suscité de vives critiques quant à la
gestion de l’état du stade par le Real Madrid, la légende d’Arsenal
Ian Wright s’exprimant clairement sur les réseaux sociaux, selon
Marca. « C’est une honte. C’est une honte que ces filles
doivent jouer sur ces terrains.»
Tom Garry, journaliste football féminin pour The Guardian, a
également fustigé le Real Madrid pour son manque supposé
d’entretien de la surface de jeu du stade Di Stefano. « Les
deux équipes, et franchement l’ensemble du football féminin, ont
été complètement bafouées par le Real Madrid avec l’état du terrain
pour un quart de finale européen. »
Renée Slegers en colère
L’entraîneure d’Arsenal, Renée Slegers, a également évoqué les
conditions de jeu au stade Alfredo Di Stefano lors de sa réaction
d’après-match, tout en refusant d’en imputer la responsabilité au
Real Madrid.
« Ce n’est pas à moi de critiquer. Évidemment, c’est une
décision du club et je suis sûre que l’UEFA s’efforce de créer les
meilleures conditions pour le tournoi. Bien sûr, la météo n’est pas
toujours sous notre contrôle. Mais je pense que nous avons vu
quelques matchs ces derniers temps où les conditions sur le terrain
n’étaient pas optimales, et je pense que c’est la prochaine étape
que le football féminin doit franchir. »
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