SPORT

Paris s’impose à Rennes et prépare bien Liverpool

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Le Paris Saint-Germain s’est imposé
contre le Stade Rennais, ce samedi, pour le compte de la 25e
journée de Ligue 1 (4-1).

Que l’on ne s’y trompe pas : il fallait davantage que l’ambiance
so british du Roazhon Park et les tuniques rouges du Stade
Rennais pour éclipser Liverpool dans la tête des Parisiens.
Luis Enrique l’avait pourtant répété : focus sur Rennes. Juste
Rennes. Mais si le club breton est suffisamment en forme pour
offrir une belle répétition, il ne pouvait pas proposer le même
type d’opposition que les Reds. Pour Paris, ce déplacement
consistait à gagner, surtout, pour cultiver la confiance. Et éviter
toute blessure.

Le onze aligné par Luis Enrique était assez éloquent : en
ménageant plusieurs cadres importants pour incorporer des seconds
couteaux, l’entraîneur du PSG n’a pris aucun risque. En face, Habib
Beye et les Rennais ne se présentaient pas en victimes, forts de 4
victoires acquises en 5 rencontres depuis l’arrivée du Sénégalais.
Malgré cette ambition, c’est bien le PSG qui a imposé sa loi à
Rennes. Même avec une équipe bis, le champion en titre reste seul
dans son monde.

Même imparfait, ce PSG est intouchable

Tout n’a pas été parfait, pourtant. On a vu les nombreuses
qualités de ces jeunes Parisiens : de la fougue, de l’envie, de la
solidarité et du talent comme s’il en pleuvait. Barcola a débloqué
la situation sur sa spéciale, un appel dans le demi-espace gauche
et un plat du pied droit après une belle ouverture de Doué (0-1,
27e). Le buteur s’est ensuite mué en passeur en délivrant un caviar
du même type à Ramos pour le break au retour du repos (0-2,
50e).

Mais on a vu les rares défauts de ce PSG, aussi : les coups de
pied arrêtés, notamment. Rennes en a profité pour reprendre espoir
sur corner par Brassier (1-2, 53e). Quelques périodes de
flottement, également, confirmant l’idée qu’au-delà d’une émulation
presque parfaite, les niveaux de chacun reste disparates, comme
l’ont montré les deux Lucas, Beraldo et Hernandez, en souffrant cet
après-midi en Bretagne.

Pour plier l’affaire, Luis Enrique a fait entrer l’artillerie
lourde en fin de match : Vitinha, Kvaratskhelia, Nuno Mendes,
Hakimi et Dembélé. Ce dernier a fait parler de lui en montrant en
dix minutes celui qu’il a longtemps été et celui qu’il est devenu.
Après avoir croqué un but tout fait sur un déboulé de
« Kvara », le serial buteur a repris le dessus pour
inscrire un doublé en deux temps, trois mouvements, sur un cadeau
de son copain Hakimi (1-3, 90e+1) et une superbe frappe du gauche
au premier poteau (1-4, 90e+4). Pour poursuivre son grand cru,
Paris aurait bien besoin de son Dembélé nouveau dans la magie
d’Anfield. Les Parisiens capitalisent avant de grimper en altitude.
Mardi, l’Himalaya se présentera devant eux.

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