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Libre cet été, Leroy Sané n’a toujours
pas prolongé avec le Bayern. Et à Marseille, certains commencent à
rêver tout haut.
L’information a de quoi
éveiller les imaginations du côté de Marseille. Alors que la fin de
contrat de Leroy Sané approche à grands pas,
le Bayern Munich n’a toujours pas fait le moindre geste concret
pour sécuriser l’avenir de l’ailier allemand. De quoi laisser
entrevoir des possibilités folles, y compris celle d’un transfert
vers un club qualifié pour la prochaine Ligue des champions, comme
l’OM. Sur la Canebière, certains osent y croire. Et à vrai dire, on
les comprend.
À en croire les
derniers échos venus d’Allemagne, il n’existe à ce jour « aucun
accord » entre Sané et le Bayern. Christoph Freund, directeur
sportif du club munichois, a confirmé que les discussions étaient
en cours mais sans avancée majeure. L’ailier de 29 ans, auteur de
13 buts et 6 passes décisives cette saison, aurait même changé
d’agent après une offre jugée trop basse. Si cette situation
perdure, il pourrait devenir officiellement libre dans les semaines
à venir… et les rêves olympiens prendre corps.
Mais très vite, la
réalité vient tempérer l’élan.
Sané reste un joueur bankable, ciblé par des clubs plus puissants
que l’OM, que ce soit en Angleterre ou en Italie. Ses
prétentions salariales dépassent largement ce que Marseille peut
assumer, même avec une qualification en Ligue des champions. Et
sportivement, difficile d’imaginer un international allemand
délaisser les grands championnats pour venir évoluer dans une Ligue
1 encore marginale à ses yeux.
Leroy Sané toujours libre :
et si l’OM osait l’impensable ?
Pourtant, cette
rumeur dit quelque chose du nouvel état d’esprit olympien. Depuis
l’arrivée de Roberto De Zerbi, Marseille affiche sans complexe son
ambition. La direction n’hésite plus à sonder des joueurs de renom.
Le dossier Sané, même irréaliste, sert surtout de signal fort au
marché et à ses propres supporters.
Leroy Sané au
Vélodrome ? Le scénario paraît improbable, mais l’absence de
prolongation à Munich entretient une flamme. Et à Marseille, rêver
fait partie de l’ADN du club.
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