SPORT

Le clash Instagram qui tourne au drame

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Prêté à Chelsea mais toujours lié à
United, Jadon Sancho a mis le feu aux poudres en commentant «
Liberté » sous une publication de Marcus Rashford.

Ce devait être un simple message de soutien entre anciens
coéquipiers. Sur le papier, Marcus Rashford partageait sa joie
après ses 30 premières minutes sous le maillot d’Aston Villa, lors
de la victoire en FA Cup face à Tottenham (2-1). « Merci pour
l’accueil chaleureux. Super performance d’équipe », écrivait
l’Anglais, écarté par Ruben Amorim depuis le 12 décembre. Mais
c’est la réponse de Jadon Sancho qui a tout fait basculer. En
commentaire, l’ailier de 23 ans, prêté à Chelsea, a lâché un
laconique : « Liberté ». Un mot suffisant pour enflammer
les réseaux… et les esprits.

« Il crache sur le club » : les fans mancuniens en furie

Pour les supporters de Manchester United, le sous-texte est
clair :
Sancho sous-entend que Rashford était « prisonnier » à Old
Trafford.
Une insulte envers l’institution, selon de nombreux
fans. « Comment ose-t-il ? Il est toujours payé par le club !
»,
s’indigne un internaute sur X. « Sancho n’a aucune
légitimité pour critiquer United après ses propres échecs ici
»
, rappelle un autre, allusion à son départ conflictuel en
janvier. D’autant que Rashford, malgré une saison en dent de scie
(2 buts en 18 matches), reste une idole à Manchester.
Sancho vs United : la rancœur d’un divorce mal digéré

Ce clash numérique n’est pas anodin. Sancho, en froid avec Erik
ten Hag après un bras de fer médiatisé en septembre, vit une saison
mitigée à Chelsea (1 but en 12 matches). Son prêt sans option
d’achat le place dans une zone grise : toujours sous contrat avec
United jusqu’en 2026, son avenir est plus incertain que jamais. En
pointant du doigt les « chaînes » supposées de Rashford, il ravive
les tensions avec son club formateur.

Rashford, Amorim et United : qui est vraiment « libre » ?

Ironie de l’histoire : Rashford, lui, a choisi Villa pour
relancer sa carrière. Mais Ruben Amorim, le coach de United, a
assuré que cette décision était « mutuelle ». Sancho, lui, semble
plus « coincé » que jamais : ni Chelsea ni United ne veulent de lui
à long terme. Une liberté… toute relative.

Le piège des réseaux sociaux

En trois lettres, Jadon Sancho a réussi l’exploit de braquer les
siens. Mais derrière ce buzz se cache une réalité plus triviale : à
23 ans, le prodige anglais doit retrouver le terrain… et un peu de
diplomatie. Car sur le marché des transferts, les clubs n’oublient
jamais les polémiques.

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