Critiqué pour ses prétendues sorties en
boîte, Pedri a répliqué avec fermeté. L’occasion de rappeler son
engagement sur et hors du terrain.
La colère est rare chez Pedri, mais cette fois, le milieu de
Barcelone n’a pas pu contenir son agacement. Interrogé par RAC-1
sur les rumeurs le dépeignant comme un fêtard invétéré, l’Espagnol
a taclé : « Si quelqu’un pense que je sors souvent le soir,
qu’il vienne chez moi. Il sera vite ennuyé à me regarder. »
Une réponse cinglante pour clore le débat, soutenu par son
entraîneur Hansi Flick : « Travailler avec lui est un plaisir.
Ses performances parlent pour lui », a salué le technicien
après la victoire face à l’Atlético Madrid.
« Venez chez moi, vous serez vite ennuyés
»
Loin des polémiques stériles,
Pedri vient de signer un partenariat inattendu avec Decathlon.
Devenu ambassadeur de la « seconde main » pour la marque, le joueur
de 22 ans promeut l’accès au sport pour tous et le recyclage. «
Depuis des semaines, je réfléchis à une idée… Aujourd’hui, je suis
fier de m’engager pour la planète », a-t-il expliqué sur les
réseaux. Une initiative saluée par Decathlon Espagne, qui voit en
lui « un modèle de responsabilité ».
Contrairement à Antoine Griezmann, autre ambassadeur de
Decathlon, Pedri ne portera pas les crampons Kipsta. Fidèle à
Adidas, il concilie ainsi engagement écologique et partenariats
sportifs. Un équilibre délicat, mais assumé : « Chaque geste
compte, même sans changer d’équipementier », glisse-t-on dans
son entourage.
Pedri, l’anti-diva
Entre rumeurs infondées et projets responsables, le message est
clair : Pedri n’est pas le stéréotype du footballeur mondain. À 22
ans, il incarne une génération soucieuse de son image… et de son
impact. « Je préfère qu’on parle de mes passes que de mes
soirées », aurait-il confié à ses proches. Un vœu exaucé :
avec 5 buts et 7 passes décisives cette saison, le talentueux
numéro 8 fait surtout parler… son pied gauche.
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