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Le FC Barcelone s’est imposé contre le
Borussia Dortmund, ce mercredi, en quart de finale aller de Ligue
des champions ( – ).
Cette fois-ci, le Barça ne peut plus se cacher. Leader de Liga,
vainqueur de la Supercoupe d’Espagne contre l’ennemi madrilène et
finaliste de la Copa contre ce même Real, le club catalan émerge
surtout parmi les meilleurs élèves de cette nouvelle formule de
Ligue des champions, au point d’en devenir l’un des grands favoris
au sacre final. Encore fallait-il le prouver une nouvelle fois sur
le rectangle vert.
L’équipe d’Hansi Flick abordait cette première manche contre le
Borussia Dortmund en bombant le torse, mais elle ne devait pas
sous-estimer un club allemand qui a su s’appuyer sur sa culture
européenne pour gravir des montagnes – demandez donc au PSG la
saison passée. Si l’affiche avait donc des allures de match piège
pour le Barça, le leader de La Liga a fait respecter son standing.
Avec brio.
Tous les regards étaient braqués sur le trio offensif
Yamal-Lewandowski-Raphinha, avec la virtuosité du prodige espagnol
de 17 ans, couplée à l’état de forme impressionnant du Brésilien et
l’efficacité d’un Lewandowski galvanisé par ses retrouvailles avec
le club qui l’a révélé. Une fois de plus, les trois gâchettes du
Barça ont fait parler la poudre pour faire la différence. C’est
bien simple : il n’y en avait que pour eux.
Le Barça porté par son attaque de rêve
La lumière est venue de Raphinha. L’attaquant brésilien a
bénéficié d’un bon travail de Cubarsi sur coup de pied arrêté pour
déverrouiller la rencontre d’un but de renard des surfaces, du bout
des crampons (1-0, 25e). Une ouverture du score qui n’a pas
vraiment modifié la configuration du match. Avec une possession
importante et un bloc haut, le Barça n’a pas renié ses principes
face à un BvB qui s’attelait à quadriller le terrain pour fermer
les lignes. Mais ces Blaugrana ont trop de talent en magasin pour
buter sur un bloc bas. Et les hommes d’Hansi Flick l’ont encore
prouvé en déroulant en seconde période.
Robert Lewandowski a endossé le costume de bourreau pour se
rappeler aux bons souvenirs de la Ruhr, d’abord en bénéficiant d’un
caviar de l’intenable Raphinha pour placer un coup de casque
victorieux (2-0, 48e), puis en concluant une merveille de contre
(3-0, 66e). Et Yamal dans tout cela ? Le surdoué catalan ne pouvait
pas être en reste. Alors il s’est chargé d’ajouter la petite cerise
sur ce gâteau déjà bien gourmand, avec un pointu du gauche sur une
nouvelle ouverture d’un Raphinha qui avait décidément la taille
patron (4-0, 77e).
Le BvB a subi ce scénario de bout en bout, allant même jusqu’à
laisser passer sa chance dans un temps fort non fructifié après
l’ouverture du score, et symbolisé par le manque de réalisme de
Guirassy (36e, 45e, 45e+1). La marche était trop haute, tout
simplement. Barcelone, de son côté, continue à grimper en plaçant
un pied en demi dans son escalier vers les sommets. Il n’y aura
plus que du beau monde, ensuite. La course aux étoiles
continue.
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