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Cristiano Ronaldo n’était pas aux
funérailles de Diogo Jota samedi. Son absence divise le football
portugais.
Samedi, le Portugal a dit adieu à Diogo Jota,
mort dans un accident de voiture avec son frère André Silva. À
Gondomar, près de Porto, les obsèques ont réuni de nombreuses
personnalités du football lusitanien.
Bernardo Silva, Bruno Fernandes, João Félix… tous étaient là.
Ruben Neves a même fait le déplacement depuis les États-Unis où il
dispute la Coupe du monde des clubs.
Mais pas Cristiano
Ronaldo. Et ça ne passe pas.
Une absence qui fait du
bruit
Le capitaine de la
sélection avait pourtant réagi sur les réseaux sociaux dès
l’annonce du décès. Message d’émotion, condoléances aux proches,
tout y était. Mais quand il a fallu se déplacer, personne. Selon
The Mirror, CR7 aurait préféré rester sur son yacht aux
Baléares pour éviter le cirque médiatique.
L’argument ne convainc pas
Antonio Ribeiro Cristovao, journaliste portugais reconnu :
« C’est inexplicable. En tant que capitaine, il avait le
devoir d’être présent. » Dans les tribunes et sur les
réseaux, les critiques fusent. Comment le leader de la sélection
peut-il zapper un tel moment ?
Quand les actes ne
suivent pas les mots
Il y a quelques jours,
Ronaldo écrivait sur Instagram : « Ça n’a aucun sens.
À ta famille et tes enfants, j’adresse mes condoléances et leur
souhaite toute la force du monde. » Belles paroles, mais
qui sonnent creux aujourd’hui. Ses coéquipiers ont, eux, fait le
déplacement. Certains de très loin.
L’absence de la star de 40
ans déçoit d’autant plus qu’elle contraste avec l’image qu’il
cultive. Ronaldo aime rappeler qu’il est un exemple, un leader.
Mais samedi, il a manqué un rendez-vous important. Les Portugais ne
l’ont pas loupé.
Cristiano Ronaldo, un
faux pas qui tache
Cristiano reste un
champion exceptionnel, personne ne le conteste. Mais être une
icône, c’est aussi savoir être là dans les moments difficiles. Pas
seulement derrière un écran. Cette absence lui fait du tort dans
l’opinion publique portugaise, habituée à le voir dans tous les
grands moments du football national.
Une erreur humaine, soit.
Mais qui rappelle que l’image parfaite a parfois des failles.
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