SPORT

Inzaghi sort un lapin de son chapeau

Une surprise s’est glissée dans le onze
de l’Inter face au PSG : Inzaghi a réservé un coup qu’on n’avait
pas vu venir… ou presque.

Jusqu’au bout, Simone Inzaghi
aura entretenu le flou. Annoncé incertain, Benjamin Pavard figure
finalement
dans le onze de départ de l’Inter pour la grande finale face au
Paris Saint-Germain.
Une présence inattendue, à première vue,
qui a de quoi surprendre, tant le Français n’avait pas été ménagé
ces derniers jours. De là à parler d’un coup de poker de
l’entraîneur italien, il n’y a qu’un pas… que beaucoup ont franchi
dès l’annonce de la composition. L’Inter avait un plan.

Pavard titulaire : la fausse
surprise d’Inzaghi

Mais derrière cette petite
“touche” d’imprévu,
l’Inter s’avance finalement avec ses fondamentaux.
Le 3-5-2
habituel est reconduit, avec Pavard donc, associé à Francesco
Acerbi – le héros de la demi-finale contre le Barça – et Alessandro
Bastoni, dans une défense centrale solide et expérimentée. Ce choix
d’aligner Pavard, s’il a pu surprendre en raison de ses pépins
physiques récents, reste dans la lignée des intentions interistes :
stabilité, rigueur, et expérience.

Au cœur du jeu, l’Inter aligne
son trio-type pour contrer la vivacité technique du milieu
parisien. Nicolò Barella, Hakan Çalhanoğlu et Henrikh Mkhitaryan
formeront un trio complémentaire, à la fois agressif et technique,
capable de tenir le ballon et de casser les transitions adverses.
Face à la jeunesse du milieu du PSG, les Nerazzurri misent sur le
vécu et la maîtrise des grands rendez-vous. Sur les côtés, Denzel
Dumfries et Federico Dimarco auront un rôle crucial pour fixer et
contenir les latéraux parisiens, tout en apportant du danger.

Le onze de l’Inter : Pavard confirmé, Thuram en pointe

Le onze
de l’Inter : Pavard confirmé, Thuram en pointe

Inter, un onze d’expérience
pour défier Paris

Devant, aucun changement :
Lautaro Martinez et Marcus Thuram forment la doublette offensive.
Le capitaine argentin, galvanisé par l’enjeu et mû par l’envie
d’effacer l’échec de 2023, mènera les siens avec son énergie
habituelle. À ses côtés, Thuram vivra une finale toute
particulière. Le Français espère écrire ce soir une page d’histoire
que son père n’a jamais pu écrire en Europe. Sa vitesse, sa
puissance et sa complémentarité avec Lautaro seront des armes
précieuses.

Avec une moyenne d’âge de 30
ans et une expérience cumulée de 48 matchs de Ligue des champions
par joueur, l’Inter s’avance en vétéran. À l’inverse, le PSG
affiche un onze plus jeune (25 ans de moyenne), avec un vécu
européen moindre. Cette différence pourrait peser dans une finale
souvent marquée par les détails. L’Inter sait ce que représente une
quatrième Coupe aux grandes oreilles. Inzaghi le sait aussi. Et ce
onze-là semble prêt à en découdre.


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