À J-3 de la finale, le PSG affiche une
sérénité bluffante… mais un détail observé à Poissy pourrait bien
tout changer.
Trois jours avant le match le
plus attendu de son histoire, le PSG semble glisser vers Munich
avec une tranquillité presque déroutante. Ce mercredi matin, sur
les pelouses du Campus de Poissy, les stars parisiennes ont
poursuivi leur préparation sans accrocs. Aucun forfait de dernière
minute à déplorer, pas de blessure inquiétante ni de tension
visible : l’atmosphère est studieuse, presque détendue. De quoi
surprendre à l’approche
d’une finale de Ligue des champions qui pourrait redéfinir
l’histoire du club.
Parmi les éléments observés, la
participation active de Khvicha Kvaratskhelia a rassuré les
supporters.
Touché par des migraines lors de la finale de Coupe de France,
le Géorgien s’est entraîné normalement, balayant les doutes sur sa
disponibilité. Mais selon plusieurs observateurs présents,
c’est un détail tactique aperçu lors des phases de jeu qui a attiré
l’attention : Luis Enrique semble peaufiner un onze sans numéro
9 de métier. Ousmane Dembélé pourrait à nouveau évoluer dans l’axe,
comme lors des précédents tours… Une option risquée face à une
défense comme celle de l’Inter.
Le programme reste millimétré.
Un dernier entraînement à Poissy est prévu ce jeudi à 11h. Puis,
dès vendredi matin, la délégation parisienne s’envolera vers
Munich, direction l’Infinity Hotel & Conference Resort, situé au
nord de la ville. Un lieu inédit pour les Parisiens, qui avaient
logé ailleurs lors de leur dernière venue en Bavière. Ce choix,
sans doute délibéré, vise à briser le souvenir de la défaite contre
le Bayern.
PSG-Inter : Un calme trompeur
avant la tempête ?
Vendredi soir à 19h, le PSG
foulera enfin la pelouse de l’Allianz Arena pour son ultime séance.
Ouverte au public et aux médias comme l’exige le protocole UEFA,
elle devrait offrir un dernier aperçu du onze probable… à moins que
Luis Enrique ne brouille les pistes une fois de plus.
Quoi qu’il en soit, Paris
s’apprête à défier son destin. Avec un groupe complet, un staff en
confiance et une dynamique séduisante, tous les voyants sont au
vert. Mais en coulisses, certains craignent que ce trop-plein de
sérénité cache une pression sourde. Et si cette finale, tant rêvée,
se jouait aussi dans les non-dits de la préparation ?
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