À quelques heures du choc retour entre
Paris et Arsenal, une star mondiale a déjà tranché. Et son soutien
pourrait en surprendre plus d’un…
La Ligue des champions
s’apprête à vivre un moment crucial. Ce mercredi soir, le PSG
tentera de valider son billet pour la finale
après sa victoire 1-0 à l’aller contre Arsenal. Mais dans cette
bataille franco-anglaise, un acteur extérieur, et pas des moindres,
a déjà pris position. À la surprise générale, Mohamed Salah semble
avoir choisi son camp entre les deux clubs… et ce n’est pas celui
que l’on pourrait imaginer.
L’information ne date
pas d’hier, mais elle refait surface au meilleur moment.
Après la double confrontation entre Liverpool et le PSG en
huitièmes de finale,
l’attaquant égyptien avait glissé quelques mots forts aux
Parisiens : « Allez-la
gagner », aurait-il soufflé à ses adversaires, juste après
leur élimination aux tirs au but à Anfield. Dans une interview
accordée à France
Football, Salah ne cache pas son admiration pour le niveau
affiché par Paris sur l’ensemble des deux matches.
Sans forcément donner
l’impression de s’aligner complètement derrière le club de la
capitale, Salah reconnaît que le PSG l’a impressionné.
« À l’aller, ils nous ont
dominés. Nous avons eu de la chance. Alisson a été incroyable
», admet-il. Et d’ajouter, avec une certaine élégance :
« C’était leur jour, je leur
ai dit d’aller au bout. » Un geste classe, mais aussi une
reconnaissance tacite de la supériorité du PSG à ce moment-là.
Salah, le message discret
d’un rival battu
Si l’Égyptien estime
que les débats ont été équilibrés dans le contenu, il n’en reste
pas moins bluffé par la performance collective des hommes de Luis
Enrique. « Ils étaient, à ce
moment-là, la meilleure équipe d’Europe », affirme-t-il. Des
propos qui résonnent fort à quelques heures d’un nouveau duel
contre un cador anglais.
Alors que Paris se
prépare à défendre son avance face aux Gunners, le soutien
implicite d’un joueur comme Salah, respecté et admiré, ajoute une
touche symbolique. Il ne gagnera pas la C1 cette saison, mais il a
passé le flambeau. Aux Parisiens, désormais, d’en faire bon
usage.
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