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Earth a bouleversé les codes établis par les premiers films de la saga

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Le film Alien: Earth s’écarte des conventions établies par les premiers opus de la saga. En modifiant certains codes narratifs et stylistiques, il marque une rupture notable avec l’héritage cinématographique qui a fait le succès de la franchise.

Tl;dr

  • « Alien: Earth » se déroule pour la première fois sur Terre.
  • La série introduit de nouveaux personnages et des entreprises rivales.
  • Lancement prévu le 12 août sur FX et Hulu.

Un nouvel horizon pour la saga Alien

Depuis ses débuts, l’univers d’Alien a su terrifier les spectateurs dans des espaces confinés, de la sinistre Nostromo aux stations spatiales isolées. Pourtant, la franchise s’apprête à franchir un cap inédit : pour la première fois, l’intrigue principale se déroulera sur Terre. Avec sa série événement Alien: Earth, attendue dès le 12 août sur FX et Hulu, Noah Hawley chamboule les codes qui faisaient jusque-là la force de la licence.

L’évolution du récit : du huis clos à la ville

Pourquoi ce choix audacieux ? Le créateur de la série l’explique sans détour : « Si vous voulez développer une série récurrente, vous ne pouvez pas rester enfermés cinquante heures dans un vaisseau spatial ». Selon Noah Hawley, le format télévisé impose de suivre plusieurs personnages et d’explorer leurs relations sur le temps long, loin du schéma classique où un unique survivant lutte pour sa vie. Ainsi, dès la bande-annonce, on découvre que l’action démarre aux abords d’une métropole densément peuplée — une rupture radicale avec l’habituelle isolation des précédents volets.

Nouveaux enjeux et visages inédits

En situant son récit en 2120, soit deux ans avant le départ fatal du Nostromo, Alien: Earth enrichit encore davantage sa mythologie. Le scénario voit émerger un nouveau rival au célèbre conglomérat Weyland-Yutani : la puissante Prodigy Corporation. À sa tête, le PDG Boy Kavalier (Samuel Blenkin) mise tout sur Wendy (Sydney Chandler), une synthétique dotée d’une conscience hybride humaine. À ses côtés figurent aussi Kirsh (Timothy Olyphant) en mentor synthétique et CJ (Alex Lawther), soldat aguerri.

Face à eux ? Un crash mystérieux du vaisseau USCSS Maginot en plein cœur de Prodigy City. Kavalier y voit une occasion rêvée de devancer ses concurrents en envoyant Wendy et son équipe récupérer technologies et secrets. Mais leur mission vire rapidement au cauchemar lorsqu’ils découvrent que l’épave transportait cinq espèces extraterrestres mortelles… dont les légendaires Facehuggers.

L’espoir d’une nouvelle ère pour Alien ?

Si le projet affiche clairement ses ambitions avec plusieurs saisons en perspective, il promet surtout une relecture rafraîchissante d’un mythe du cinéma SF. S’affranchissant du sentiment d’enfermement qui a longtemps défini la franchise, Noah Hawley ouvre désormais le champ des possibles à une menace globale : « Cet accident n’est qu’un début ; le danger pourrait bien dépasser les frontières de Prodigy City… »

Une chose est sûre : « Alien » vient bousculer nos certitudes – sur Terre cette fois-ci.

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