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En plein conflit avec la LFP, DAZN serre
la vis en interne. Une mesure qui touche directement ses employés
et soulève des interrogations.
Alors que les tensions entre DAZN et la Ligue de football
professionnel (LFP) s’intensifient autour des droits de diffusion
de la Ligue 1, la plateforme de streaming sportif a choisi de
réduire les salaires d’une partie de ses employés.
C’est ce que révèle le quotidien Ouest-France. Cette décision,
qui survient dans un contexte financier compliqué, renforce l’idée
d’une crise plus profonde pour DAZN,
déjà fragilisée par son désaccord avec la Ligue. Face aux
incertitudes qui planent sur l’avenir de la diffusion du
championnat français, la société semble désormais contraindre son
personnel à faire des sacrifices.
Une mesure décidée en amont, mais révélatrice
Si cette réduction de salaire semble résonner avec l’impasse
actuelle entre DAZN et la LFP, elle n’est pourtant pas une réaction
immédiate à ce conflit. Selon la source citée, cette décision
remonte à plusieurs semaines déjà, bien avant que les négociations
sur les droits télévisés n’occupent le devant de la scène.
Pourtant, le timing de cette révélation ne passe pas inaperçu.
Plusieurs dizaines de salariés ont été concernés, certains voyant
leur rémunération amputée de manière significative. DAZN a justifié
cette mesure par des raisons économiques et la nécessité d’adapter
ses coûts à une conjoncture incertaine.
Des conditions de travail sous pression
Au-delà de cette baisse de salaire, c’est l’ensemble des
conditions de travail chez DAZN qui interpelle. Les témoignages de
salariés décrivent un environnement difficile : pression accrue,
objectifs élevés et manque de visibilité sur l’avenir. «
L’ambiance est lourde, on ne sait jamais de quoi demain sera fait
», confie un employé. Cette réduction salariale vient aggraver
un climat déjà tendu, où la stabilité semble de plus en plus
compromise.
Quel avenir pour DAZN ?
Alors que l’avenir des droits de la Ligue 1 reste incertain,
DAZN se retrouve dans une position délicate. Entre ambitions de
domination sur le marché des droits sportifs et impératifs
économiques, l’entreprise marche sur un fil. Cette politique
d’austérité interne laisse planer des doutes sur sa capacité à
tenir sur le long terme dans un secteur ultra-concurrentiel, où
chaque faux pas peut être fatal.
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