À 21 ans, Rayan Cherki vise haut. Très
haut. Le meneur lyonnais rêve en bleu, avec une obsession assumée :
devenir le numéro 10 de l’équipe de France.
Alors que son avenir en club suscite toujours autant
d’interrogations, Rayan Cherki semble désormais avoir les idées
claires sur son futur personnel. Depuis plusieurs mois,
l’international Espoirs tricolore brille par intermittence avec
l’OL, et ne cesse de susciter curiosité et débat. Est-ce son avenir
en club qui l’obsède ? Son prochain transfert ? Un possible
changement de sélection ? Rien de tout ça. Son ambition va bien
au-delà.
Selon une indiscrétion
venue des États-Unis, relayée par une vieille connaissance du
joueur, l’objectif numéro un de Cherki est limpide : endosser le
numéro 10 de l’équipe de France A. Une place de choix, réservée aux
plus grands, que le meneur lyonnais rêve de conquérir. À 21 ans, il
n’a pourtant jamais été convoqué par Didier Deschamps,
malgré des performances parfois étincelantes avec Lyon. Mais
dans son entourage, la conviction est intacte : il réussira à
convaincre, tôt ou tard.
Contacté à plusieurs reprises par le sélectionneur algérien
Vladimir Petkovic, Cherki n’a jamais donné suite. Son entourage
l’affirme : la piste algérienne n’est pas une option. Derrière
cette fidélité au maillot tricolore, un raisonnement aussi affectif
que stratégique. Son frère, qui gère sa carrière, en est convaincu
: un avenir en Bleu, c’est l’assurance d’une carrière plus
valorisée, médiatiquement comme financièrement.
Cherki a choisi : son destin
ne passera pas par l’Algérie
Pas question de
brûler les étapes. Même sans appel de Deschamps, Cherki continue de
croire en son étoile. S’il faut attendre un successeur, voire un
changement de génération, il attendra.
Zidane est souvent cité comme futur sélectionneur. Et dans
cette projection, le nom de Rayan Cherki figure déjà parmi les
héritiers possibles.
Alors que d’autres
binationaux ont choisi l’Algérie, Cherki reste inébranlable. Pour
lui, seul le maillot bleu compte. Pas pour faire de la figuration,
mais pour incarner, pour briller, pour mener. Avec un rêve tenace,
presque obsessionnel : devenir le numéro 10 de l’équipe de France,
à l’image des Zidane, Platini ou Griezmann avant lui.
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