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Les héros reprennent du service. Deux
semaines après leur sacre en Ligue des champions au terme d’une
finale grandiose contre l’Inter Milan (5-0), Luis Enrique et ses
hommes partent à la conquête du monde avec la toute première
édition du Mondial des clubs, qui débute ce dimanche 15 juin.
Pour leur entrée en lice, Marquinhos et ses
coéquipiers seront opposés à un adversaire qu’ils connaissent
parfaitement : l’Atlético de Madrid. Une affiche alléchante qui se
place dans un contexte assez délicat.
Pour des raisons économiques et
télévisuelles, ce premier match des champion d’Europe débutera à 21
heures – heure française. Un horaire inhabituel et difficile à
appréhender pour un footballeur professionnel puisqu’il indiquera
midi pétantes sur la pendule à Los Angeles, où les Parisiens sont
installés depuis qu’ils ont posé le pied sur le sol américain. Ce
qui implique des changements d’habitude pour la préparation,
notamment sur le plan alimentaire.
Des températures très élevées
Si Luis Enrique et son staff technique seront
particulièrement attentifs aux états de forme des joueurs,
physiquement et mentalement, après une saison éreintante, les
conditions de la rencontre renforceront la difficulté et le degré
de vigilance.
Bien que la météo soit souvent capricieuse au
mois de juin en Californie, les Parisiens devront gérer une chaleur
assez étouffante, que le ciel soit dégagé ou pas. Des températures
à 31 degrés sont attendues au Rose Bowl de Pasadena, avec un
ressenti équivalent à 37 degrés. Plus que ce chiffre brut, l’indice
UV, mesurant l’intensité des rayons ultraviolets émis à un instant
T, devrait atteindre la mesure de 11, soit un temps considéré comme
« extrême » selon les informations de L’Équipe.
Alors que mythique stade américain du Rose Bowl (qui avait
accueilli la finale du Mundial 1994) a la particularité de ne pas
être couvert du tout – y compris au niveau de ses tribunes -, des
pauses fraîcheur pour une hydratation complète devraient être
prévues afin de préserver les organismes.
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