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L’avenir de Neymar est enfin tranché :
Santos a levé le voile sur la décision que toute la planète
football attendait.
Cela faisait plusieurs semaines
que le suspense enflait. Restera ? Partira ? Les rumeurs
l’envoyaient du côté de l’Europe, de la MLS ou même vers un retour
inattendu au Barça.
Son entourage alimentait la confusion, entre pistes exotiques
et confidences calculées. Ce mardi, le rideau est tombé : Neymar a
enfin pris sa décision. Et le verdict, officiel, résonne comme un
signal fort dans le paysage du football mondial.
Le choix du cœur : Neymar reste
à Santos
À travers un communiqué
émouvant, le Santos FC a confirmé la nouvelle : Neymar Jr prolonge
l’aventure avec le club de sa jeunesse jusqu’à fin 2025.
« Eu vou, eu volto, eu fico », écrit le
joueur. « Je pars, je reviens, je reste. » Une
phrase devenue slogan, symbole d’un attachement viscéral à ses
racines. Le “Menino da Vila” ne fuit pas les responsabilités. Il
assume, reste, et entend écrire un ultime chapitre chargé de sens
et de symboles.
Cette prolongation n’est pas
un simple contrat. C’est une déclaration d’amour, une volonté
farouche de finir ce qui avait été entamé bien avant le PSG,
Barcelone ou Al-Hilal. À 33 ans, Neymar ne fuit pas la compétition
: il l’embrasse. Il rêve encore de la Coupe du monde 2026, et
Santos sera sa rampe de lancement. En 243 matches avec le club (si
on compte le premier passage) il a inscrit 141 buts, servi 69
passes décisives, et conquis cinq trophées majeurs. Mais le plus
grand reste peut-être à venir.
Un signal fort envoyé au
Brésil… et au monde
Marcelo Teixeira, président du club, salue une décision
historique. Pour lui, Neymar n’est pas qu’un joueur, il est un
repère. Une figure centrale dans la reconstruction sportive et
identitaire du Peixe. Son père, lui, évoque un environnement
“idéal” pour que son fils exprime de nouveau sa magie. Cette
prolongation n’est donc pas une fin, mais un nouveau départ.
En pleine possession de ses
moyens,
Neymar veut prouver qu’il reste un artiste majeur du jeu. Pas
pour se comparer à Messi ou Ronaldo, mais pour se réconcilier avec
lui-même.
Le Mondial 2026 reste l’ultime sommet, Santos en sera le
tremplin. Et si ce retour, ce “fico”, était l’œuvre finale d’un
génie en quête d’absolu ?
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