C’est fait ! Ancelotti a signé

Après plusieurs mois de rumeurs persistantes, Carlo Ancelotti a
officiellement signé un nouveau contrat. Une décision lourde de
conséquences pour le technicien italien, mais aussi pour le club
qu’il quitte. Depuis plusieurs semaines déjà, les signaux allaient
tous dans la même direction, et son avenir semblait écrit.
Pourtant, le lieu exact de sa prochaine mission restait l’objet de
toutes les spéculations.

Ancelotti rejoint le
Brésil

C’est désormais acté
: Carlo Ancelotti devient
le sélectionneur de l’équipe nationale du Brésil.
Comme l’a confirmé The
Athletic, l’accord est signé, et la prise de fonctions est
prévue pour le 26 mai, juste après la fin de la saison du Real
Madrid. Une page se tourne donc pour celui qui fut l’un des
entraîneurs les plus titrés de l’histoire merengue. La fédération
brésilienne, via son émissaire Diego Fernandes, a finalisé
l’opération en toute discrétion, profitant du contexte délétère qui
régnait à Madrid.

Un timing logique après une
fin de cycle à Madrid

Éliminé en quarts de
Ligue des champions, battu en finale de Coupe du Roi par le Barça,

et relégué à sept points du leader Hansi Flick en Liga,
Ancelotti ne faisait plus l’unanimité à la tête du Real. À 65 ans,
il choisit donc de relever un ultime défi : conduire la Seleção
vers un sixième sacre mondial en 2026. Il devient au passage le
premier entraîneur étranger à occuper ce poste mythique.

Un
Italien à la tête du Brésil : Ancelotti, pari audacieux et
assumé

Une succession déjà
bouclée au Real

Sans surprise,

Xabi Alonso devrait reprendre le flambeau sur le banc
madrilène. Le futur exentraîneur de Leverkusen, qui retrouve
donc son ancien club,
aurait même déjà entamé ses premières manœuvres pour le
mercato. Un relais générationnel qui en dit long sur les
ambitions de Florentino Pérez, désireux de reconstruire autour
d’une figure moderne, proche de ses joueurs et de la philosophie
maison.

Ancelotti-Samba : un pari
historique

Jamais un entraîneur
non brésilien n’avait eu les rênes de la Seleção. Mais avec
Ancelotti, la CBF vise l’excellence européenne au service d’une
nation en quête de renouveau. Son premier match ? Le 6 juin
prochain contre l’Équateur, en éliminatoires. Le décor est
planté.