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Le président de l’OGC Nice a confié un élément assez surprenant au sujet du mail envoyé la direction du club azuréen mettant gravement en cause Christophe Galtier.
Jean-Pierre Rivère a glissé un élément potentiellement important dans l’affaire dite Galtier. Le président de l’OGC Nice s’est exprimé pour la première fois en public, jeudi, le jour de l’élimination des Aiglons contre le FC Bâle en C4, au sujet du courriel de Julien Fournier qui accuse gravement Christophe Galtier.
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« Julien Fournier m’a dit un jour: « Je vais écrire un courrier à Ineos. » Il ne souhaite pas m’en donner le contenu, ce que je respecte. Ce mail, je ne l’ai toujours pas vu », jure Jean-Pierre Rivère, dans une interview accordée à Nice-Matin et L’Equipe. Etonnant ? Supérieur hiérarchique de Fournier, Rivère n’insiste pas pour connaître au moins la teneur de la lettre.
« Ce que j’ai entendu, vu, compris, pas compris, je ne vais pas vous le dire »
Fournier, coordinateur sportif niçois à l’époque du courriel (début de la saison 2021-2022), a donc alerté les propriétaires anglais et ces derniers n’ont pas jugé nécessaire, à leur tour, d’en informer leur président.
« Je n’ai eu que les éléments rapportés par le journaliste M. Molina. Point barre, insiste Jean-Pierre Rivère. Ce que j’ai entendu, vu, compris, pas compris, je ne vais pas vous le dire. J’ai donné tout ce que je pouvais aux enquêteurs lors de mon audition. »
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La police judiciaire de Nice a entendu le dirigeant du club azuréen dans le cadre de l’enquête ouverte depuis huit jours. Et Jean-Pierre Rivère d’aller dans le sens du secret de l’instruction : « J’espère que chacun pourra librement s’exprimer dans le cadre de l’enquête. Je ne vais pas dire dans la presse ce que j’ai exprimé aux enquêteurs. »
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