Un compte à rebours a été lancé pour l’un
des cadres de Manchester United. Son avenir pourrait basculer dans
les toutes prochaines heures…
L’agenda de Bruno Fernandes vient de se remplir d’une urgence
inattendue. Le capitaine de Manchester United, figure centrale du
vestiaire et des dernières saisons des Red Devils, est désormais
sous pression. Alors que son avenir à Old Trafford semblait encore
incertain après une saison collective morose, une offre
exceptionnelle vient de tout bouleverser. Mais ce qui retient
l’attention, c’est le timing. Le joueur n’a que 72 heures pour
trancher. Une décision lourde de conséquences.
Derrière cette urgence, un nom : Al-Hilal. Le géant saoudien
propose un contrat vertigineux : jusqu’à 200 millions d’euros sur
trois ans, avec un salaire hebdomadaire multiplié par quatre,
atteignant les 700 000 € nets. De quoi bouleverser n’importe quelle
carrière, même celle d’un joueur accompli. Selon la presse
anglaise, les discussions entre le clan Fernandes et Al-Hilal sont
déjà bien avancées. Mais rien n’est encore signé. Et ce délai de 72
heures, fixé par les dirigeants saoudiens, vise à forcer le
Portugais à se positionner rapidement, au risque de voir l’offre
retirée.
Fernandes : un compte à rebours sous haute tension
Face à cette pression extérieure, Manchester United pourrait
être contraint d’agir. Le manager Ruben Amorim tient à son
capitaine et l’a encore rappelé : « Bruno est essentiel à
notre projet ». Mais le joueur a laissé entendre qu’il
était prêt à partir si le club souhaitait « faire de la place
ou encaisser une belle somme ». À noter que le Paris
Saint-Germain a, lui aussi, songé au profil du Lusitanien.
Luis Enrique, prêt à réviser ses principes, l’aurait identifié
comme un éventuel renfort stratégique. Le Bayern Munich serait
également dans la course.
Avec 30 ans au compteur, Bruno Fernandes se retrouve face à un
choix crucial : assurer un dernier grand contrat, ou poursuivre son
aventure en Europe, avec ses exigences sportives. Le PSG, le
Bayern, ou Al-Hilal ? Dans ce jeu de chaises musicales où chaque
heure compte, l’international portugais détient les clés de son
destin. Une chose est sûre : son avenir ne se jouera pas sur la
durée, mais sur un coup de fil… dans les 72 prochaines heures.
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