Après Naples, un autre géant d’Italie
vient bouleverser le dossier De Bruyne… Les coulisses d’un mercato
qui affole la Serie A.
Alors que le mercato s’apprête
à s’emballer, le nom de Kevin De Bruyne agite toute l’Italie.
Après des semaines où Naples semblait tenir la corde pour attirer
le maestro belge, un nouvel acteur majeur s’invite dans la
bataille. Le suspense reste donc entier : alors que tout portait à
croire que le stratège de Manchester City allait déposer ses
valises dans la région napolitaine, les coulisses du football
italien bruissent d’une offensive soudaine venue d’un autre grand
club.
C’est la Juventus qui, à son
tour, veut convaincre De Bruyne de rejoindre ses rangs. Les
dirigeants turinois ont récemment pris contact avec l’entourage du
joueur pour exprimer leur intérêt et tenter de changer la donne.
Conscients de l’ampleur du défi, ils multiplient les arguments pour
détourner De Bruyne de Naples, où le projet séduit pourtant le
joueur. Car si les discussions sont avancées avec le club d’Antonio
Conte, rien n’est encore signé, laissant la porte ouverte à un
rebondissement de dernière minute.
À 33 ans,
le Belge s’apprête à tourner la page Manchester City après une
décennie dorée. Son désir profond : continuer à évoluer au plus
haut niveau européen, malgré les sirènes exotiques venues d’Arabie
Saoudite ou des États-Unis. Pour rendre ce rêve possible, De Bruyne
est prêt à un immense sacrifice financier : selon la presse
italienne, il accepterait de diviser son salaire annuel par quatre
pour rejoindre la Serie A, privilégiant la passion du jeu à l’appât
du gain.
Naples toujours favori pour
De Bruyne, mais…
Naples conserve une longueur
d’avance dans ce dossier brûlant. Antonio Conte, nouvel entraîneur
du club, s’investit personnellement pour séduire De Bruyne et en
faire le pilier de son projet. L’environnement, l’ambition sportive
et le soutien de la ville plaident pour un accord imminent. Mais la
Juventus, réputée pour ses négociations habiles, espère renverser
la tendance, misant sur son histoire et sa force de frappe pour
emporter la décision.
Quelle que soit l’issue, le
cas De Bruyne illustre une réalité de plus en plus rare : à l’heure
où l’argent règne, certains joueurs privilégient encore la quête de
la gloire sportive. Le Belge,
prêt à sacrifier 15 millions d’euros par an pour relever un dernier
défi européen, envoie un signal fort à tout le continent. Le
suspense reste entier, et l’Italie retient son souffle.
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