SPORT

le sacrifice fou de De Bruyne

Kevin De Bruyne est prêt à tout pour
rester en Europe. Une décision forte qui en dit long sur ses
ambitions sportives… et personnelles.

Après une décennie brillante à Manchester City,
Kevin De Bruyne s’apprête à tourner la page.
Le meneur de jeu
belge se rapproche de Naples,
un club qui pourrait devenir le théâtre de sa dernière danse
européenne.
Le futur ex maître à jouer de Pep Guardiola,
souvent annoncé en partance pour l’Arabie Saoudite ou les
États-Unis, aurait donc choisi une autre voie, bien plus exigeante
et imprévisible.

Mais ce qui étonne le plus, c’est l’ampleur du sacrifice
financier que De Bruyne serait prêt à consentir. Selon la presse
italienne, le stratège de 33 ans est disposé à baisser son salaire
annuel de 20 à 5 millions de livres pour rejoindre Naples, soit un
manque à gagner de 15 millions. Un renoncement rarissime dans le
football moderne, et une preuve de sa détermination à continuer à
jouer au plus haut niveau.

Un dernier défi pour la gloire : De Bruyne dit oui à Naples

Un
dernier défi pour la gloire : De Bruyne dit oui à Naples

De Bruyne, qui aurait pu finir en préretraite dorée dans une
destination exotique, semble vouloir défier le temps. Poussé vers
la sortie par Manchester City, qui ne souhaite pas renouveler son
contrat, il a choisi de miser sur l’intensité de la Serie A et
l’ambition de Naples. Ce club, engagé dans une course au titre
enflammée et déjà qualifié pour la prochaine Ligue des champions,
offre un dernier défi à la hauteur de son talent.

De Bruyne brade son salaire pour un dernier rêve européen

À la manœuvre, Antonio Conte. Le nouvel entraîneur de Naples
s’active personnellement pour faire venir De Bruyne. Son projet,
son discours et sa vision séduisent le Belge, qui serait aussi
attiré par la région de Naples, où il s’est marié et où son épouse
aurait été aperçue à la recherche d’un logement.

Ce potentiel transfert incarne bien plus qu’un simple changement
de club. Il dit quelque chose d’un joueur qui, même à 33 ans, veut
encore gagner, jouer, exister. De Bruyne à Naples, ce serait un
symbole, un message adressé au football européen : on peut encore
choisir la passion plutôt que l’argent. Et rêver, même en fin de
parcours.


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